Je me réveille tranquillement, et comme c’est dimanche, je fais comme les coréens : je vais marcher à Namsan, la montagne (san) au sud de Seoul (nam), enfin quand Seoul était encore localisée dans sa muraille !

A 10h, le dimanche matin, il n’y a pas grand monde dans les rues et je traverse la ville avec comme point de mire, la tour de Namsan. Il me serait difficile de me perdre !


Au pied de Namsan, il y a un autre village hanok : celui-là n’est pas résidentiel. Il y a quelques maisons et pavillons. Ça ressemble plus à un parc (un peu comme le jardin japonais à Toulouse). Je prend mon temps, c’est joli et il n’y a pas trop de monde. On peut même louer une des maisons pour faire un mariage traditionnel coréen (c’est un vrai mariage auquel on peut assister ou une cérémonie de renouvellement de vœux).

Dans le parc juste au dessus du village, une capsule temporelle a été enterrée en 1994 pour commémorer les 600 ans de Seoul comme capitale de la Corée. Elle devrait être déterrée en 2394 pour les 1000 ans.


Puis je monte jusqu’à la tour de Namsan, c’est assez pentu mais le chemin est goudronné et il y a des escaliers… Pas vraiment ce à quoi je m’attendais dans un parc ! Il y a beaucoup de monde au sommet, c’est un lieu où se croisent familles, personnes âgées et couples (le top des lieux de RDV !).

En haut, il y a les bongsudae, ces balises étaient allumées pour communiquer.


En revenant, je passe jeter un œil au Seoullo 7017, une passerelle piétonne, je pense que ça vaut plus le coup le soir quand Seoul s’allume…

Je reprends mon chemin et je tombe nez à nez avec la relève de la garde à Sungnyemun, une des portes à l’ouest de la muraille.


Je rentre assez tôt pour pouvoir manger au resto Maru : gimbap et mandu ! Cette fois, ce n’est pas épicé !